Ya des moyens plus efficaces pour avoir l'alcool qui prends un verre, qui fait genre la taille de 2 verre nutella. On met des glaçons, le froid adoucis le gout de l'alcool, ça sera moins fort. Donc moins de chande de vomir au bout de 54024 verres. On met une rondelle de citron jaune c'est moins fort ou du jus du citron concentré le jus de la cuisine. Mais pas trop sinon ça sera pas bon. On rajoute une boisson gazeuze, n'importe laquelle selon vos gout du moment qu'elle est gazeuze. à mis ajoutez vos mixtures/liquides non alcoolisé qui vous en dernier on remplis le reste du verre avec l'alcool de notre bout d'un verre, les bulles et le citron feront le travail sur l'alcool et votre organisme, ça montera plus vite à la tete. Et en plus ça ne sera pas fort. Garantis 100% Au bout de 4 verres vous etes totalement torchés
quandj’ai emménagé dans ma propre maison en 2005, la bouteille est venue avec moi. J’allais l’ouvrir pour célébrer le déménagement, mais pour une raison quelconque, Je ne l’ai pas fait. 11 ans plus tard, je faisais un nettoyage de printemps et je suis tombé sur la bouteille dans un placard à côté de vieilles boîtes de
Press J to jump to the feed. Press question mark to learn the rest of the keyboard shortcutsFound the internet! J'ai besoin de savoir. Je ne vais plus pouvoir dormir sinon. level 1Selon cette page de fans Full-time crew members 342,953Officers 27,048Troops 607,360Pilots 167,216Support and maintenance crew 285,675Support droids 400,000Stormtroopers 25,984; depending upon deploymentGunners 57,278Starship support staff 42,782Passengers 843,342Dors bien !level 2Passengers 843,342Je comprendrais leur présence sur un vaisseau mais je ne vois pas pourquoi une station spatiale, qui plus est à usage militaire, aurait des passagers. En plus, ils constituent 30 % des 2Je sens une perturbation dans la force...level 2Question suivante est-ce mal de tuer 1 gros million d'innocents pour préserver la vie de nombreuses planètes et sauver ainsi plusieurs milliards d'individus ?Vous avez deux heures !level 2Ah oui ça fais beaucoup!level 2Ce sont des clones ou pas ? Est-ce qu’on peut les considérer comme des personnes ?Édit question déjà poséelevel 1Selon les syndicats ou la préfecture?level millions selon la prefecture, une grosse douzaine selon l'Alliance la CGTlevel 14. C'était le vendredi apres midilevel 1les stagiaires comptent comme des personnes ?level 2Bien sur que non, meme sur terre on considere pas les stagiaires comme des personneslevel 1N'oublie pas de mettre le chiffre en regard des 2Md d'habitant sur Aldé 1Faut arrêter de regarder cet événement à travers le filtre de nos biais de confirmation, si on prend un peu de hauteur, ça reste une attaque terroriste orchestrée pas une poignée de fanatiques soumis à un ordre mystico-fé 2C'est autant une attaque terroriste que le torpillage d'un destroyer dans le golfe persique cà d pas du toutEt dans cette analogie, le destroyer vient de lancer un missile nucléaire pour raser une ville pleine de 2C'est du nipicking débile ce type de dé CommunityLe subreddit pour ce qui concerne la France et les Français982kCourageux travailleurs
ChampagneGabriel Boutet & Charles-Millet 40 Rue Paul Louis Lucas - 51480 Cumières Information in Deutch and English. BOUTIQUE.Tipicaly Champagner Probe - Tasting. Visit winery or vineyard near Epernay. Tél : 03 26 55 32 94 - Miss Pat* : 06 83 OO 10 44 Le vigneron Luc Millet petit-fils de Gabriel Boutet : 06 72 73 67 46 miss.pat@champagne
Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclagePartagez AuteurMessageInvité Empire State of MindInvité Sujet tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Mar 18 Juin - 034 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ?NaverleyLa soirée se terminait tranquillement sur l'île de Manhattan. Les derniers détails de sa surprise de ce soir se terminait alors qu'il raccroche le téléphone. Un fin sourire sur les lèvres, il texte rapidement un sms à un numéro inconnu et son regard en dit long sur son impatience à être ce soir. Celui d'un homme d'avance satisfait de son coup, comme si il n'y avait aucune possibilité qu'on ne vienne entraver son bonheur à ce moment précis. Son chauffeur l'attendait au bas du building du cabinet dans la Berline noire aux vitres fumées. "Votre costume est à l'intérieur monsieur." Un rapide signe de la tête en guise de merci et il embarque dans la voiture spacieuse, remontant la vitre séparant le côté conducteur de celui du passager pour enfiler une tenue plus classe. Chemise noire, veste de costume tout aussi noire sur son pantalon Armani, une monte imposante à son poignée et des chaussures noires en cuir au bout légèrement pointu, fidèle à lui-même à vrai dire, il sort de la voiture pour leur première halte avant de rejoindre Prince's Bay. Sur ses genoux, l'imposant bouquet de lys blancs diffuse une odeur qui suffit à lui lever le coeur. Le romantisme n'a jamais été qu'un leur pour avoir les filles et atteindre plus vite son but premier, à savoir les mettre dans son lit. Et une fois n'est pas coutume, il espérait bien jouer la carte du parfait petit mari ce soir. Après tout, neuf ans de vie commune et d'engagement sous les liens très sacrés du mariage valait bien une belle soirée en tête à tête. Dans le sac frappé du logo très chic d'un grand traiteur new-yorkais, différents mets à réchauffer, d'autres à servir froids dans un sac à part. Et pour finir à ses pieds, une bouteille de champagne et une bouteille de cet excellent vin rouge français qu'il avait bu l'autre jour, pendant un dîner d'affaire. Oui, tout était parfait. Parfaitement organisé, parfaitement chronométré et cette soirée promettait d'être inoubliable. 20h30 précise, la Berline se gare devant la grande villa de Staten Island, celle qu'il avait pu acheter avec l'héritage de sa grand-mère et qui représentait à elle-seule, le seul intérêt à avoir une femme. "Vous déposerez mes vêtements au pressing au passage." Il payait bien suffisamment le chauffeur pour qu'il puisse se permettre de lui demander ces quelques petites tâches supplémentaires. De toute façon, ils avaient toujours fonctionné ainsi. Si la tenue de Nathan était soignée, l'absence de cravate la rendait plus décontractée. Le bouquet à la main, les sacs du traiteur dans l'autre, il gagne la porte d'entrée de leur belle maison. Son sourire ne l'avait pas quitté et risquait sûrement de ne pas disparaître avant un long moment, si ce n'est de rester coincer sur son visage pour quelques jours. Il entre sans frapper, mais après tout, il est chez lui et peut bien faire ce qui lui chante. Le bruit suffira sûrement à prévenir sa femme de son arrivée. L'intérieur est épurée, Nathan préférant les décorations minimalistes et design aux couleurs chaudes et chaleureuses. Seules quelques toiles d'art contemporain viennent réhausser le blanc des murs. Il se dirige d'un pas tranquille jusqu'à la cuisine, déposant soigneusement le bouquet, de sorte à ce que l'emballage blanc ne viennent pas cacher l'arrangement délicat des fleurs immaculées pour toute personne entrant dans la pièce. En attendant qu'elle ne daigne se montrer, il sort les boites du traiteur qui laissent échapper un fumet délicieux de saumon. Le dessert est mis au frigo, la bouteille de champagne maintenue au frais chez le traiteur à côté des fleurs et le vin rouge laissé de côté. Il ne manque plus que la principale intéressée qu'il attend tout en rangeant les sacs.© Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Mar 18 Juin - 113 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Je n'attendais pas grand chose de lui. J'ai été comblée. »Gros soupir...Levant les yeux au plafond de l'immense demeure de Staten Island, Berveley se posait sévèrement deux questions pourquoi Nathan lui avait-il demandé de se préparer pour ce soir, et surtout, pourquoi lui avait-il donné son surnom qu'il usait au début de leur relation ?? C'était à n'y rien pratiquement le début de leur mariage, il n'y avait déjà plus rien entre eux. L'amour qu'ils avaient pu se porter au début s'était bien vite fané, remplacé par le poids d'un devoir conjugal qui ne les intéressait ni l'un, ni l'autre. Nathan voyait d'autres femmes, Bev le savait. Elle ne le lui avait jamais dit, mais nombre de ses coups d'un soir avaient réussi à avoir son numéro pour lui dire à quel point son mari était un excellent coup au lit. Bien sûr, cela ne faisait que sourire notre blonde qui voyait là surtout de la frustration de la part de ses femmes qui avaient été larguées comme de vulgaires par contre, ne pouvait pas être larguée comme ça. Elle était sa femme, ils étaient mariés depuis neuf ans maintenant, d'ailleurs, cela lui avait fait penser que c'était aujourd'hui, leur anniversaire de mariage. Mais pendant ces dernières années, ils s'étaient évités et avaient préféré le fêter à leur façon chacun de leur côté. En y repensant, Berveley serra un peu les dents avant de soupirer une seconde fois en terminant de se enfoiré de Nathan... Sérieusement, pour l'avoir appelée Bébé aujourd'hui, elle se demandait vraiment ce qu'il préparait. Son jeu favori consistait à l'humilier et la blesser quand il le pouvait, mais la jeune femme prenait toujours le tout avec philosophie pour ne pas montrer à quel point cela touchait son but au début de leur relation. Et du coup, elle avait fini par devenir une sorte de rocher sur lequel tout coulait sans l'atteindre. Elle ne ressentait plus aucune douleur quand il s'agissait de son mari, alors ce soir, même si elle ressentait une grosse et soudaine appréhension, elle n'allait pas perdre de sa superbe parce qu'il allait lui jouer un sale tour, elle en était à 20h30 pétantes, Beverley était donc prête. Parée d'une superbe robe noire avec juste deux fines bretelles en satin et strass, dont la fente sur le côté droit remontait jusqu'en haut de la cuisse laissant apparaître ses jambes fuselées et parfaites, son teint légèrement halé du soleil qu'elle avait pris dans l'après-midi, ses longs cheveux blonds remontés dans un chignon lâche, elle n'avait en tout et pour tout qu'une paire de boucles d'oreille en diamant, ainsi qu'un bracelet avec les mêmes diamants séparés chacun par une fine chaîne en la porte de la maison s'ouvrir, elle attendit bien cinq minutes avant de descendre les escaliers, légèrement angoissée mais ne laissant rien paraître. Les effluves d'un repas commandé chez le traiteur annonçait la présence de son plat favori, ce qui augmenta son angoisse à tel point qu'elle faillit en froncer les sourcils. Elle se contenta de sourire légèrement en terminant de descendre les escaliers, avisant son mari avec un beau bouquet de lys blancs à la main... Euh... Ça puait mais un truc de dingue !- dit d'un ton simple et monocorde, le plus qu'elle pouvait faire pour éviter de montrer ses émotions négatives. Oui, ça puait mais vraiment !Dernière édition par Beverley H. Weaver le Mar 18 Juin - 247, édité 1 fois Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Mar 18 Juin - 202 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ?NaverleyIl l'attendait de pied ferme, on ne pouvait pas présenter les choses autrement alors qu'il finissait ses petites affaires dans la cuisine. Dos à la porte d'entrée de la pièce, son sourire s'étire quand il entend les talons de sa femme claqués sur le sol immaculé de leur grande maison. Il attend la dernière minute pour se tourner vers elle et répondre à son salut par un simple regard amical. Oui parce que c'est bien ce qu'il est, dans sa grande cuisine, en train de déballer les plats du traiteur. Il s'approche lentement, prenant les fleurs de sur le comptoir pour lui présenter le bouquet. "T'en penses quoi ?" Il a l'air plutôt fier dans son beau costume noir, ses lys blancs à la main et un sourire tendre sur les lèvres. "T'es belle ce soir, tu vas où comme ça ?" La manière dont il le dit sonne comme une blague, peut-être même que s'en est une puisqu'il lui a demandé de se préparer pour ce soir et d'attendre son assez rapidement, il retrouve son impassibilité habituelle. Il lui met les fleurs dans les bras pour retourner vers l'endroit où sont alignées les boîtes du traiteur. "Il faudrait les mettre dans l'eau je pense." Assez autoritaire comme d'habitude, mais moins froid qu'il n'a pu l'être par le passé, il farfouille un instant, attrapant une fourchette dans un des tiroirs blancs et épurés de la cuisine. "[color=steelblue]Approche, il faut que tu goûtes ça.[/colo]" Il lui tend l'ustensile sur lequel trône un peu du risotto aux champignons noirs qu'elle aime tant, attendant qu'elle soit suffisamment proche pour lui donner la bouchée. "Le chef m'a dit qu'il a retravaillé la recette, histoire que ce soit plus onctueux." Son sourire tendre réapparaît sur ses lèvres alors qu'il repose la fourchette sur le comptoir. Une de ses mains vient écarter une mèche blonde échappée de son chignon et perdue sur sa joue. "C'est mieux pour un dîner en amoureux de la douceur, tu penses pas ?". Passant du coq à l'âne sans transition mais avec délicatesse, il fait sauter le bouchon de la bouteille de champagne, en remplissant deux le temps de s'attarder sur sa réponse, ni même sur le champagne, que la sonnette de la porte d'entrée retentit. "Excuse-moi, je reviens." L'interruption soudaine ne le surprend pas puisque tout rentre dans l'ordre de son plan minutieux et légèrement sadique. Il lui laisse les deux coupes de champagne dans les mains et quitte la cuisine. Si on ne le connaît pas bien, on pourrait presque croire que le Nathan du début est brusquement de retour pour une soirée, le temps d'honorer les voeux qu'ils ont prononcé il y a de cela neuf ans. Deux peut-être trois minutes s'écoulent entre son départ et son retour dans la cuisine. Mais en tendant l'oreille, on comprend aisément qu'il n'est pas seul et que la personne qui l'accompagne est une femme, une femme qui rit en plus. Lui aussi est à la fête alors qu'il apparaît dans le cadran, le bras autour de la taille d'une jeune femme brune, 25 ans tout au plus, des jambes interminables, un visage de poupée de porcelaine, et un corps à s'envoyer direct en enfer. "Chérie, je te présente Svetlana. Je l'ai défendu il y a quelques semaines contre un type qui utilisait ses photos de charme illégalement. Enfin, on peut pas vraiment lui en vouloir quand on les a vu. Ah et elle ne parle pas un mot d'anglais, c'est bien plus pratique comme ça." Récupérant les lys blancs laissés dans la cuisine, il les offre à la jeune femme, enchaînant sur quelques mots de russe qui ont pour résultat de faire rire aux éclats la fameuse Svetlana. Les mains dans les poches, il se retourne vers son épouse, le visage plus sérieux. "Alors tu vas aller où ce soir ? T'as pas répondu à ma question tout à l'heure." Et à présent il attendait vraiment qu'elle lui indique où elle comptait se rendre pendant que lui dégusterait ce somptueux repas en compagnie du mannequin de charme russe dans leur belle maison de Staten Island.© Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart[/quote] Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Mar 18 Juin - 246 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Je n'attendais pas grand chose de lui. J'ai été comblée. »Voyant le bouquet de lys dans ses bras, Beverley faillit avoir une petite attaque... Qu'est-ce que Nathan allait bien pouvoir lui demander qu'il n'avait déjà ? Parce que cela ressemblait trait pour trait à une mise en scène visant à lui soutirer une faveur ou un truc dans le genre... Ce n'était pas le Nathan qu'elle avait appris à connaître ces dernières le bouquet sur le bar de la cuisine américaine, elle sortirait un vase plus tard, répondant à son ton autoritaire par un haussement d'épaules. L'autorité naturelle de Nathan ne l'atteignait plus depuis des lustres. Par contre, elle faillit se casser la gueule quand il lui présenta une fourchette de son plat préféré. Un geste qu'il n'avait pas eu depuis sa première année à Harvard quand elle l'avait rencontré. Ils passaient tout leur temps au lit quand ils n'étaient pas en cours et se faisaient régulièrement livrer des plats pour ne pas avoir à était loin cette époque... Si Bev avait su, elle ne serait pas plongée direct la tête la première dans cette union sans espoir. Enfin, elle avait décidé de ne se marier qu'une seule fois, elle entendait bien respecter son serment, sauf si vraiment Nathan décidait d'aller trop loin, là, il en serait pour ses coup, le coup du dîner romantique sentait vraiment l'eau de boudin mais puissance dix milles pour Beverley. Même pas eu le temps de répliquer quoique ce fut que la sonnerie de l'entrée retentit, et que son mari attentionné pour ce soir s'esquivait pour aller ouvrir. Avec un petit sourire qui commençait tout juste à être optimiste, la jeune femme déchanta pourtant bien plus rapidement encore quand Nathan se ramena avec une superbe greluche brune russe à peine plus jeune qu'elle, autour de qui il avait posé ses grands bras.*Espèce d'immonde salopard de merde...*En souriant un peu plus, la blonde ne lui fera pas la faveur de lui montrer à quel point il avait finalement réussi encore à la blesser... Mais qu'il ne se réjouisse pas trop vite, elle se faisait fort de lui arracher une grimace de colère pendant au moins une fraction de seconde. Ce serait son cadeau d'anniversaire pour leurs neuf années de vie conjugale. Déposant les deux coupes de champagne qu'elle aurait adoré s'envoyer cul sec, elle garda contenance et ne se laissa pas déborder par sa haine Bonsoir Svetlana. Ravie de vous de la brune pulpeuse avec un immense sourire amical, Beverley lui tendit la main, tout en les foudroyant à tour de rôle en pensées. Après une brève poignée, la blonde se retint in extremis de grimacer en voyant ses fleurs préférées aller à cette pétasse. Heureusement pour elle, la jeune blonde avait miraculeusement pensé à une roue de secours, une roue qui serait de bien meilleure compagnie que son bâtard de Avant que tu ne te précipites vers la porte d'entrée, j'allais te dire que je ne resterai pas. J'avais prévu de sortir avec la femme de ton patron. Elle a organisé une soirée que tu avais refusé, il me semble. Je lui ai dit que tu avais un rendez-vous d'affaire très pire ? Ce n'était pas un mensonge. Beverley avait accepté de se rendre à ce cocktail avant que Nathan ne lui demande de se préparer, ce qui tombait drôlement à pic et lui permettait de garder la face. Elle allait finalement s'y rendre, se préparant mentalement à se bouger pour faire sortir son propre chauffeur personnel au moyen d'un texto qu'elle allait envoyer rapidement. Et puis apparemment, Mark lui avait laissé entendre la dernière fois qu'ils s'étaient vus qu'il allait s'y rendre aussi en était avocat lui aussi, et le meilleur ami de son mari. Ce que Nathan ne savait pas, c'est que depuis trois ans, depuis que Mark l'avait vue aussi malheureuse après une énième fourberie de son mari, il avait entrepris de consoler la femme bafouée. Et depuis trois ans, ils poursuivaient une liaison brûlante mais très discrète, totalement dissimulée par rapport à ses autres liaisons connues. Mark avait bien tenté d'essayer de la faire divorcer, mais Beverley devait être une sacrée masochiste à elle ne passerait heureusement pas la soirée à se morfondre seule dans son coin. Laissant son mari et sa pute tout en leur faisant un immense fuck mental, la jeune femme remonta très vite dans sa chambre pour y envoyer un texto rapide à Chuck, son chauffeur qui était dans sa famille depuis bien des années, prit son sac à main noir déjà prêt et redescendit. L'image même de Nathan et de cette brune en train de s'envoyer en l'air la faisait frémir d'horreur mais bon, qu'y pouvait-elle ? Elle n'allait pas non plus faire une crise de jalousie pour... Ce machin que son mari avait l'air de trouver à son Aller, je vous souhaite une bonne soirée ! Chuck est déjà là. Bye !Sans même avoir touché à son dîner qui l’écœurait plus que de raison, Beverley se rendit vers la porte d'entrée sans plus un seul regard vers ces deux cons. Elle espérait bien que la mine condescendante de son mari avait cédé la place à un peu de colère en la voyant si légère, c'était un peu sa petite revanche à elle. Par contre, la blonde se demandait comment allait se passer la fin de la soirée, quand elle rentrerait à la maison... À savoir si Nathan n'allait pas passer la nuit dans sa garçonnière dans l'Upper East Side... Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Mer 19 Juin - 1506 Elle n'a pas besoin de pleurer pour qu'il sache pertinemment si il venait de la blesser ou non. Parmi tous les sales coups dont il avait été capable au cours de leur vie commune, elle n'avait jamais eu le droit à une telle orchestration, le parfait mélange du romantisme lavé à la javel pour ne plus laisser qu'un décor vide de sens et douloureux. Néanmoins, il aurait aimé apercevoir plus qu'un léger vacillement dans son regard. La voir exploser était pour lui le plus beau des spectacles tout comme ses larmes, tellement abondantes au début de leur relation quand il avait commencé ses frasques. Et plus que tout ça, les instants qui suivaient, où il lui faisait l'amour pendant des heures, comme une longue excuse, essuyant ses larmes alors qu'il embrassait ses lèvres, caressait son corps. Mais ça faisait des mois qu'il ne l'avait pas touché. Et il n'était même pas sûr qu'une telle chose se reproduirait un jour. Il les laisse faire connaissance, chuchotant rapidement quelque chose à la russe, la faisant rire à nouveau. La jeune femme s'était révélée avoir si peu de vertu que le plan qu'il avait échafaudé était en réalité une œuvre à quatre mains. Il songera à la remercier plus tard du coup des fleurs qui devait sûrement achever intérieurement Beverley. Mais son air impassible l'irritait plus qu'autre chose. Quel plaisir pouvait-on tirer à vouloir blesser quelqu'un qui restait de marbre face à vos attaques à répétition. Il hoche simplement de la tête, tentant de cacher sa frustration sous un sourire plus que ravi. Eh bien c'est parfait. Svetlana et moi avons … un debriefing important à faire sur son affaire. » La jeune russe pouffe alors qu'il lui passe une main sur les fesses, pas le moins du monde gêné par la présence de sa femme dans la même pièce. Et si cela pouvait en plus la déranger, tout allait pour le mieux. Bien sûr, tout aurait été réellement parfait si la blonde n'avait eu d'autres choix que de rester ici, d'entendre les gémissements de plaisir de la russe à travers la porte, de ne pouvoir faire autrement qu'étouffer les sons sous son oreiller. Mais on ne pouvait pas exiger la perfection non plus, aussi saurait-il se contenter de sa fausse indifférence. Il lui fait un signe de la main quand elle les salue, ne pouvant s'empêcher de lâcher un nom d'oiseau entre ses dents alors qu'elle quitte le domicile. La soirée se déroule tranquillement et comme il l'avait prévu, à part un vague baragouinage en anglais, Svetlana s'avère plus douée à l'horizontal que pour la conversation. Mais son plaisir à lui est moindre, l'esprit ailleurs, légèrement consterné de ne pas avoir pu atteindre Bev comme il l'avait souhaité. Aussi, assez rapidement, il redescend au rez-de-chaussée. Un match important de foot américain se finissait sur leur écran plasma. Un verre de bourbon à la main, un cigare dans l'autre, il regarde sans vraiment regarder, se massant légèrement la tempe quand il ne tirait pas sur l'épais baton de tabac. Etait-il à son premier verre ? Au troisième ? Plus peut-être, il ne se souvenait plus vraiment mais la bouteille se vidait plus vite que de raison. Il l'attendait, c'était sûr, et l'alcool avait tendance à lui faire réaliser à quel point il était stupide parfois. Ce mariage n'aurait dû être qu'un vaste arrangement lui permettant de toucher l'héritage de sa grand-mère. Mais elle avait raison. Il n'était pas prêt, ne l'était toujours pas. Incapable de rester fidèle et de se contenter d'une seule femme, il n'avait fait que la rendre malheureuse. Et si cette simple pensée suffisait à le réjouir en tant normal, à ce moment précis, elle rendait son crâne lourd et douloureux, tout autant que le poids de ses actes souvent démesurés. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Mer 19 Juin - 1627 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Je n'attendais pas grand chose de lui. J'ai été comblée. »- Aller ! Reste avec moi ce soir ! Nathan est chez toi avec une autre femme, ça te ferait du bien de te laisser câliner un peu plutôt que de te rendre malade !- J'aimerai mais... Je dois dire non. J'ai un rendez-vous tôt demain matin et m'y rendre en robe de soirée est absolument hors de une petite grimace comique, Beverley souriait tranquillement à Mark en toute innocence, simulant un intérêt détaché comme s'ils avaient une conversation normale. Ce qui permettait de sauvegarder les apparences et de ne pas pousser les gens à se poser trop de Je ne comprends pas pourquoi tu t'obstines à rester avec lui. Nathan est mon meilleur ami, presque mon frère, mais un véritable salaud en ce qui concerne les femmes, plus spécialement Parce que tu crois m'apprendre quelque chose peut-être ? Et puis, je ne sais pas si tu l'as remarqué, mais coucher avec une femme mariée n'est pas forcément une chose des plus vertueuses non plus !Elle avait sciemment baissé le son de sa voix qui se perdit bienheureusement dans le brouhaha ambiant. Et le ton hargneux signifiait qu'elle était à présent de mauvaise humeur. Le début de la soirée avait été catastrophique, et la suite des plus ennuyeuses. La blonde soupirait d'un air blasé, ne voulant pas blesser son amant qui après tout ne voulait que son parfois, nous avons l'art d'aimer les choses qui nous font du mal...- Écoute. Si tu veux, on se voit d'ici après-demain. En ce moment, je ne suis pas d'humeur à supporter quoique ce Fais attention à toi, Bev. Je n'aimerai pas qu'il t'arrive quelque lisait très bien dans les yeux de Mark son envie qu'il avait de la prendre dans ses bras pour quelques minutes seulement, afin de lui apporter tout le soutien et toute l'affection que son mari ne lui donnait plus depuis des années. Et si elle n'avait pas été autant éprise de ce dernier, elle aurait sans aucun doute fini par tomber amoureuse de lui. Il était prévenant, calme, charmant, attentionné, n'avait jamais un mot blessant ou une remarque désobligeante. Il ne jouait pas la comédie de l'amant gentil juste pour avoir le plaisir de posséder son corps...La blonde savait qu'elle avait le choix, qu'elle pouvait divorcer de Nathan pour que Mark puisse prendre le relais et la noyer sous de tendres actes... Mais c'était plus fort qu'elle, elle avait envie de pousser Nathan à la détruire, d'essayer de le détruire à son tour, de faire tomber leur couple dans les flammes de l'Enfer, une envie déraisonnable confinant au besoin viscéral. C'était comme ça, elle n'y pouvait rien. La machine était lancée depuis neuf ans maintenant, et était quasiment Je vais rentrer, je suis Mais il n'est que 22h15 ! Les discours ne sont pas encore passés !- Ce n'est pas grave, tu me feras un compte-rendu, j'en suis un petit clin d’œil malicieux, Beverley se détourna et prit le temps de partir saluer les relations importantes de son mari avant de s'éclipser pour retourner dans sa prison dorée. Parce que malgré tout le luxe et le confort de cette maison, il s'agissait bien d'une prison où ses souvenirs les plus horribles étaient imprimés dans les murs. Chaque endroit où elle regardait, chacune des pièces qu'elle traversait tous les jours étaient autant de rappels cuisants de l'échec de ce mariage était peut-être temps d'investir dans un appartement pour s'y réfugier dans les moments où cela devenait insupportable... Enfin, elle verrait bien. Dans la voiture, elle réfléchit longuement, regardant la ville sans la voir au travers des fenêtres teintées. Avec un gros soupir, elle pensait bien trouver la villa vide de toute présence humaine, alors quelle ne fut pas sa surprise en entendant le son de l'écran plat dans le clés et sac sur la console de l'entrée, Beverley ôta ses escarpins et marcha jusqu'à la cuisine, sans même jeter un coup d’œil ailleurs dans un premier temps. Elle avait été sage à la réception, s'était juste permise de manger un peu pour ne pas avoir la tête qui tourne à l'unique coupe de champagne qu'elle avait touché. Ouvrant le frigo, elle y prit le saumon en papillote et le risotto, les plaça dans une assiette qu'elle avait sorti au préalable et mit le tout à réchauffer au fois que ce fut prêt, elle s'installa sur une des chaises hautes du bar, prenant le temps de savourer ce repas que Nathan avait tout de même choisi pour elle. Avec un petit sourire, Bev eut une pensée peu charitable, se disant que finalement, ce plat à base de poison acide n'était pas si mauvais. Une fois son assiette terminée, elle la posa dans le lave-vaisselle, prit une coupe en cristal, attrapa la bouteille de champagne à peine entamée et s'en servit une coupe qu'elle engloutit aussitôt. Puis elle s'en resservit une seconde, histoire de se donner un peu de courage avant d'aller jeter un coup d’œil dans le était seul, et possédait la mine la plus pitoyable qu'elle ne lui eut jamais vue jusque là. C'était assez jouissif pour une fois, de savoir qu'elle n'était pas la seule à souffrir de cette gigantesque farce. Grimpant sur le fauteuil à côté du canapé pour ne pas se trouver trop proche de lui, Beverley s'assied en hauteur, les fesses sur le dossier, les pieds sur l'assise, sa flûte en cristal dans la main gauche, la bouteille de champagne dans la Alors ? Elle est où Svetlana ? Tu l'as oubliée dans la chambre ?Empreinte d'ironie mordante, Bev but sa seconde coupe cul sec de nouveau avant de se resservir. Il était bon parfois de lâcher complètement les rennes et de se laisser porter par la vague. Sortirait ce qui devrait sortir, elle n'avait jamais eu peur jusqu'à maintenant alors pourquoi commencer ? Elle boira la coupe jusqu'à la lie après tout... Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Sam 22 Juin - 2327 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ?NaverleyL'alcool lui montait doucement mais sûrement à la tête. Le match ne le préoccupait pas plus que ça, l'esprit suffisamment ailleurs que pour ne pas s'énerver de voir son équipe favorite perdre à plat de couture. Perdre tout comme il avait manqué en quelque sorte son coup. La satisfaction de voir Beverley s'enfoncer n'avait été de courte durée, la blonde ayant choisi de fuir la situation plutôt que de se contraindre à l'accepter. Ce qu'il pouvait la haïr pour ça, pour le priver de ce plaisir qu'il apprécie tant. Le goût de l'alcool et du cigare mêlé aidait légèrement à compenser cette soirée loupée. Il ne se retourne pas en entendant la porte d'entrée s'ouvrir, pas plus encore quand ses talons se dirigent vers la cuisine, sans un mot à son égard. La haine sourde entre eux ne fait que s'éveiller, chassant bien vite les remords que lui donnent parfois l'alcool quand il en abuse. Il aurait envie de lui crier dessus, de la secouer une bonne fois pour toute. Si seulement elle était moins têtue, si elle l'avait quitté dès le début catastrophique de leur mariage ... et surtout si elle ne se laissait pas faire avec autant de passivité, il ne se permettrait sûrement pas de faire toutes ces choses. L'envie de connaître les limites de sa résistance, de la mettre à l'épreuve, était tentante, et d'autant plus séduisante qu'il n'avait jamais réussi à l'énerver au point de la faire enfin craquer et demander le divorce. Il ne bouge toujours pas d'un poil quand elle revient au salon, après un long moment passé dans la cuisine, seule. Une chose était sûre, elle devait avoir un fond de masochisme en elle pour revenir ainsi à chaque fois vers lui, comme si elle cherchait les humiliations à répétition et la haine de son mari, l'alcool étant loin de le rendre meilleur, malgré ses vagues relents de regret, de temps en temps. Il ne lève les yeux vers elle que quand elle pose sa question, prenant malgré tout le temps de prendre une grande bouffée sur son cigare et d'envoyer la fumée épaisse dans sa direction, se souciant bien peu de la gêne qu'elle pourrait avoir par rapport à l'odeur. "Pourquoi ? Tu veux aussi la baiser ?" Un sourire pervers et amusé étire ses lèvres alors qu'il reporte son regard sur la télévision où l'équipe de Los Angeles manque un nouveau but. A vrai dire, c'était une chance qu'il ignore tout des penchants de son épouse pour le sexe féminin, sans quoi sa haine de provocation se transformerait en haine tout court. Homophobe depuis toujours, on ne rigolait pas sur ce sujet chez les Weaver. Alors non, il n'allait pas se cacher de ses tromperies. Il n'avait jamais été fidèle, même quand ils sortaient ensemble à Harvard. Et l'imaginer au lit avec la brune au corps parfait était tout autant excitant que perturbant. Mais là n'était pas la question et à vrai dire, il ne saurait vraiment dire si la russe était déjà partie ou non. Finissant son bourbon d'une traite, il secoue la cendre de son cigare avant de se lever pour aller s'agenouiller sur le fauteuil, juste devant Beverley. Les moments où il la touchait étaient rares mais l'alcool aidant, il n'avait pas spécialement envie de rester dans son coin sur le canapé, surtout si ça pouvait la torturer un peu plus. Ses lèvres effleurent son décolleté alors que sa main gauche remonte le long de la fente de sa robe. "Alors, le vieux con a de nouveau tenté de te foutre la main au cul ?" Personne n'ignorait que l'associé le plus ancien du cabinet éprouvait une vraie fascination pour les femmes jeunes, sûrement un Nathan dans quelques années. Ses baisers sont doux, bien loin de son sadisme habituel, mais mieux vaut se méfier de l'eau qui dort. © Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart[/color] Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Dim 23 Juin - 012 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Je n'attendais pas grand chose de lui. J'ai été comblée. »Ce bon vieux Nathan avait toujours une imagination débordante pour tenter d'indisposer sa femme. Seulement, plus les années passaient, moins ses efforts touchaient au but, comme si chacun des coups qu'elle recevait était une nouvelle pièce de l'armure la plus solide du monde qu'elle se forgeait petit à petit. Ainsi, la fumée âcre et lourde du cigare ne lui fit que plisser légèrement le nez sans pour autant déclencher de protestation en bonne et due forme. Et puis vu l'ambiance à la soirée, c'était vraiment un maigre tribut à sa réponse, Beverley faillit partir en fou rire, la mine vicieuse de son mari valant tout l'or du monde. Elle laissa juste un sourire retors étirer ses lèvres avant de lui envoyer un gros boulet de canon Pourquoi pas ?Terminant sa nouvelle coupe de champagne, elle déposa bouteille et flûte sur la table basse avant de reprendre sa place et de sourire plus grandement avec Ça t'énerverait si je te disais ça, pas vrai ?La blonde connaissait l'aversion de Nathan pour les homosexuels. S'il savait qu'elle ne regardait pas le genre de son partenaire quand elle s'envoyait en l'air, nul doute qu'il finirait véritablement par la détester. Le truc, ce n'était pas vraiment le vice qui l'attirait dans ce trait de sa personnalité, ce qu'elle recherchait surtout, c'était de la tendresse, de l'attention, de la considération, ne pas être traitée comme un objet qu'on a remisé dans un grenier parce qu'il ne nous convient plus, ce que Nathan avait fait depuis le début de leur mariage d'ailleurs... Alors la jeune femme se lançait à corps perdu dans la recherche de qu'il était miraculeusement en train de lui donner là, maintenant. Mais une femme avertie en valait toujours deux, et vu le coup magistral qu'il lui avait envoyé en début de soirée, nul doute que cette balle de match pouvait se révéler mortelle. Nathan s'était levé et l'avait rejointe sur son fauteuil, se calant entre ses cuisses, faisant remonter sa main le long de sa jambe nue alors que ses lèvres se déposaient légèrement contre son décolleté généreux. Il y avait si longtemps qu'il ne l'avait touchée ainsi...Mais même si elle frémissait de le sentir aussi proche, Beverley savait que le retour de bâton pouvait être virulent et particulièrement douloureux, aussi se laissa-t-elle faire pendant quelques minutes, savourant tout de même son toucher aérien sans pour autant se laisser aller à faire de même, se contentant de lui répondre dans un souffle, histoire de bien lui faire croire qu'elle était complètement conne au point de se laisser avoir par ses attentions qui cachaient mal une mesquinerie Tu parles ! Le vieux con est parti en début de soirée, il a trop abusé du Millésimé... Mais dis-moi... Tu ne serais pas un peu... En manque ?Lui relevant doucement le visage comme s'ils étaient un couple fou amoureux alors que la vérité était ô combien plus moche, Beverley approcha son visage de celui de Nathan, un air si doux et aimant sur le visage qu'il ne pouvait que croire qu'elle était tombée dans le panneau. Ses mains remontaient lentement les bras de son mari en de douces et savantes caresses, des gestes qu'elle n'avait pas oublié et auxquels elle savait qu'il ne pouvait pas résister. Ses doigts trouvèrent le col de sa chemise et déboutonnèrent trois des boutons du haut pour qu'ils puissent effleurer sa peau virile. Bon, en un sens c'était vrai, elle ne simulait pas vraiment, mais elle n'était pas stupide au point de croire que subitement, les choses changeraient. Alors elle avait juste décidé de se maintenant que leurs lèvres s'effleuraient à peine, se trouvaient à un souffle les unes des autres, Bev lui porta le coup de Mais pas ce soir, je suis elle s'esquiva en s'éloignant rapidement, rompant tout contact si cela lui serrait le cœur quelque part, elle ne pouvait retenir un air de triomphe sur le visage qui s'estompa bien vite, pour ne pas pousser môssieur à piquer une grosse colère. Il était adepte des coups de pute ? Il ne savait pas encore à qui il avait à faire. Bev n'avait jamais osé se rebeller contre ça, mais après ce qu'il venait de lui faire, il n'y avait plus de règle. Tous les coups étaient contre, elle s'attendait aussi à ce que la répartie de Nathan fuse rapidement et donc, elle fonça vers la salle de bain, tentant aussi vite que possible de s'y enfermer et d'y pousser le verrou afin de ne plus avoir à l'affronter ce soir. À savoir s'il n'allait pas être plus rapide qu'elle et la rattraper... Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Jeu 27 Juin - 2317 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ?NaverleyLimaginer avec une fille ? Le contrarier ? Elle était alors bien loin de connaître l'étendue de l'imagination de son mari, même si disons les choses franchement, selon lui, certains fantasmes devaient uniquement rester au stade de ce que peut en faire l'esprit. "Non, ça m'plait bien de t'imaginer en train de toucher une fille. Une brune plutôt. Les blondes ont tendance à me rendre agressifs." Sur ses mots, il vient la rejoindre, chacun de ses gestes entrant en parfaite contradiction avec ce qu'il venait pourtant de dire. Beverley est une fille sublime, on ne peut pas nier l'évidence. Il l'avait toujours affirmé, même quand il s'envoyait en l'air à gauche et à droite et c'est essentiellement ça qui l'avait séduit durant leurs études. Alors renouveler de temps en temps avec ses formes sensuelles n'était pas de refus. Il ne relève pas la tête quand elle lui fait une réflexion sur ses pulsions qui pourtant, s'exprimait dans une douceur rare chez lui. Elle ne pouvait donc pas se contenter d'apprécier le moment, tout simplement ? Il fallait que là aussi, elle gâche tous ses plans en papotant inutilement. "En manque, non." Sa main glisse le long de la fente de sa robe, lentement, appréciant le contact chaud et doux de sa peau. "Je ne fais que remplir mon devoir conjugal." Du moins, le faisait-il quand cela l'arrangeait. Parce que le reste du temps, il était bien loin du mari idéal, très très loin même. Et il était certain qu'elle n'était pas insensible à ses attentions. Tout le laissait dire, la façon dont elle le caressait, ses regards, ne serait-ce que l'impatience tranquille dans la manière dont s'effleuraient leurs lèvres. Elle ne faisait que céder, immanquablement, encore et toujours. Tout ça était d'une facilité déroutante mais la naiveté de sa femme ne l'étonnait plus depuis longtemps. Pourtant quand elle effleure sa machoire, le repoussant légèrement, il reste un peu béat, les sourcils froncés. Trop ... fatiguée ? Qu'on lui dise non était une chose, qu'il l'accepte en est une autre, quelque chose de totalement différent. Mais l'air de triomphe qu'elle affichait ne faisait que confirmer que son refus n'était autre qu'une façon de le faire sortir de ses gonds. Aurait-elle enfin saisi comment il fonctionne, du moins en partie ? A savoir que plus on lui refusait quelque chose, plus il s'acharnait pour l'obtenir. Il ne suffisait de prendre pour exemple que leur divorce. Elle avait refusé de le lui donner au début de leur mariage, et depuis il s'acharnait à l'obtenir, tel était la contradiction made in Weaver. Alors il la laisse partir, se contentant de la suivre, pas assez rapidement pour la rattraper néanmoins quand elle s'enferme dans la salle de bain. Et quand il trouve la porte fermée, il toque doucement. "Bébé ..." Un coup sur la poignée ... La pièce est fermée à clé. Pourtant, il tente de ne pas perdre patience. "Bébé, ouvre-moi." Pas de réponse et la situation commençait à l'agacer. Surtout que l'alcool était toujours bien présent dans son organisme. Il s'acharne sur la poignée, la porte définitivement close. Un poing s'écrase contre le battant en bois, puis un autre avant qu'il n'abandonne son combat inutile. Quelle salope, c'est tout ce qu'il arrive à penser. Est-ce qu'elle allait se tenir là toute la nuit ? Ne restait plus qu'à vérifier sa résistance. Retournant au salon, il tire une des chaises de leur salle à manger, le cigare à la bouche, s'asseyant devant la porte. "Bev, sors de là !" Assis en face du battant, il donne un coup de pied sur le battant, son visage restant calme alors qu'il expulse la fumée de son corps. Il pouvait frapper sur la porte toute la nuit si il le fallait mais qu'il faille la défoncer ou non, il tirerait son joli derrière de cette pièce. On ne dit pas non à Nathan Weaver.© Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart[/color][/quote] Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Mar 2 Juil - 1309 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Je n'attendais pas grand chose de lui. J'ai été comblée. »Devoir conjugal mes fesses ! Cela faisait longtemps qu'il avait bafoué le contrat qu'ils avaient signé devant Monsieur le Maire, alors qu'il veuille soudainement le remplir tel un gentil petit mari attentionné, ça n'avait pour effet que de faire un flop énorme qui aurait fait rire le public d'une série dans la salle de bain, Beverley s'efforçait de contenir ses larmes de frustration. Cet enfoiré de Nathan savait où toucher pour lui faire le plus de mal possible, et ce soir était en quelque sorte pire que les autres. Même si elle se concentrait pour ne pas lui donner satisfaction, rien ne lui plairait plus que de le voir redevenir le Nathan d'avant, celui qui avait su la séduire, qui était doux et tendre avec elle... Mais cela faisait des années qu'elle avait perdu confiance. Aussi, ne lui restait plus qu'une chose s'accrocher à ce mariage jusqu'à ce qu'il se décide à demander le divorce. Ce ne serait pas elle qui le ferait, elle respectait trop ses propres vœux et son mode de vie pour se parjurer. Ses amants n'étaient qu'une réponse à son mari semblant de ne pas entendre son surnom prononcé avec une certaine douceur, la blonde se déshabilla et entra dans la spacieuse cabine de douche, histoire de se laver des attouchements flamboyants de l'homme avec qui elle partageait sa vie. Cet affreux connard recherchait quelque chose, elle en était certaine... Mais quoi ? Là était toute la question...Aussi, une fois propre, Bev sortit de la cabine et s'entoura d'une serviette en éponge, prit une autre serviette pour enrouler ses longs cheveux dorés comme les blés et finit par s'exaspérer en entendant Nathan s'énerver devant la porte. Que lui arrivait-il pour qu'il la traque à ce point ce soir ? Ce ne devait certainement pas être le fait qu'elle l'ait repoussé... Ou plutôt si. Nathan désirait toujours ce qui ne lui était pas accessible. Et il était prêt à tout pour ça, jusqu'à foutre des coups dans la porte, ce qui fit naître un petit sourire narquois. Quel imbécile...Ouvrant brutalement la porte de la salle de bain, elle se tint devant lui, droite comme un i, le regard Qu'est-ce que tu me veux ? T'en as pas assez de faire un bordel pas possible ?Les poings sur les hanches, Beverley fixait son époux d'un regard étincelant de colère et sans aménité aucune. Nathan était saoul, cela se voyait à son regard un peu flou et fiévreux. S'approchant de lui alors qu'il tentait de garder son équilibre sur la chaise, elle se saisit brutalement de son menton pour le regarder droit dans les Pourquoi tu me cherches ? Tu veux que je sois une furie avec toi, c'est ça ?Lui repoussant le menton d'un geste brutal, la blonde lui tourna de nouveau le dos et fit un pas de côté pour regagner sa chambre, une des chambres d'ami qu'elle avait modifié pour s'y installer, délaissant la chambre conjugale dans laquelle elle n'osait même plus poser un pied. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Mar 16 Juil - 103 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ?NaverleySon sourire s'étire enfin quand elle ouvre la porte de cette maudite salle de bain. Il tapote la cendre de son cigare sur le carrelage du couloir. Si ils ont une femme de ménage c'est bien pour qu'elle serve à quelque chose après tout. "Tu sais bien que j'en ai jamais assez." Jamais assez de la rendre folle, jamais assez de lui pourrir la vie, de vouloir avoir tout ce qui lui est tellement inaccessible. Pendant toutes leurs années de vie commune, il lui semblait pourtant que ce n'est que très récemment que Beverley montrait ce côté plus affirmé avec lui. Elle l'avait tellement habitué à rester sagement dans son rôle de femme soumise que ce nouveau visage ne faisait que le griser. Du moins, l'était-il avec autant d'alcool dans le sang. Il rit ironiquement, de cette façon qu'il sait parfaitement qu'elle déteste. Le fait qu'elle soit brutale avec lui lui plaît même si il se tuerait plutôt que de le reconnaître. Son regard brûle, mais plus tellement de haine. Il a envie d'elle, ça ne fait aucun doute, même si sa soirée a déjà été plus que consommé. Il sourit, provocateur à l'excès. On dit bien que l'interdit a ce petit quelque chose d'excitant qui vous pousse à transgresser les règles. Et rien de mieux qu'un refus de sa propre femme que pour attiser chez Nathan une envie sans précédent dans leur longue vie de couple. Une furie, ça lui semblait tellement loin de ce qu'il connaît d'elle qu'il doit se retenir de ne pas lui lancer un rire ironique. A la place de cela, il se contente de poser une main sur son avant-bras, l'autre remontant la longue fente de sa robe noire qu'elle avait mise pour leur rendez-vous manqué. "Ca me déplairait pas faut croire." Surtout si son comportement à lui pouvait continuer à la mettre en rogne. Finalement, peut-être qu'il obtiendrait sa revanche au plaisir qu'elle lui avait retiré en réussissant à s'échapper de la maison pour la cette opportunité tant attendue se précise quand elle prend la direction de sa chambre au rez-de-chaussée, dans laquelle elle avait préféré déménager, elle et sa collection infinie de chaussures. Il sirote tranquillement la fin de son whisky, abandonnant le verre sur la table basse du salon. Non, il ne fallait rien louper du merveilleux spectacle qui allait bientôt se jouer là. La suivant lentement, son sourire ne le quitte plus alors qu'il s'adosse contre l'entrebaillement de la porte. Le cigare est presque entièrement consommé, c'est loin d'être le cas des mauvaises surprises de la soirée qu'il réserve à sa femme. Au bord du lit, la grande brune, encore à moitié nue, renfile sa robe, lançant un regard d'incompréhension à l'avocat face à Beverly. Les draps sont défaits et il ne faut pas sortir de Harvard pour comprendre où a eu lieu l'adultère de ce soir. Et il espérait vivement que sa dernière carte raflerait la mise de la colère de la blonde. Il s'approche d'elle, posant délicatement mais fermement une main sur son épaule. "Alors ? Tu peux toujours te la faire tant qu'elle est à poil dans ton lit." Il ricane bêtement, soufflant les dernières volutes de fumée de son cigare. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Ven 19 Juil - 1156 Tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Je n'attendais pas grand chose de lui. J'ai été comblée. »Ce sinistre individu les lui ferait toutes apparemment... Mais cela ne suffirait pas à la déstabiliser. Nathan n'en avait pas conscience mais ce n'était pas ses exactions présentes qui l'indisposaient, c'était surtout les souvenirs de quand il était encore un minimum civilisé et faisait semblant d'être amoureux qu'elle ne supportait pas. Voyant la brune se rhabiller sur son lit, Beverley eut un immense sourire. Le fait qu'il ait couché avec cette femme dans son lit ne lui faisait absolument rien. Si elle avait fui le lit conjugal, c'était plus pour ne rappeler ô combien il était un bon amant plutôt que de se demander combien de femmes avaient dormi dedans. Et nul doute que si son mari venait à savoir qu'elle avait fait l'amour avec Mark dans ce lit, il perdrait immédiatement ce sourire narquois et vicieux qu'il arborait fièrement depuis tout à l' tournant vers Nathan, la jeune femme lui offrit une expression neutre, sans plus aucune Si tu cherches la bagarre, t'es bien loin du compte, mon pauvre n'était pas une attaque de la sorte qui allait la blesser plus qu'elle ne l'était déjà, bien au contraire. Quand il pensait toujours à faire pire, il renforçait bien au contraire sa confiance en elle et sa hargne, son envie de lui faire subir pire. Se dirigeant vers la pouffiasse qui venait tout juste de sortir de son lit, Bev s'en approcha avec un air revanchard. La saisissant par la nuque avec brutalité, elle se serra contre elle en fixant son mari d'un regard brûlant de provocation et un sourire Ne me tente pas, "chéri". Tu ne sais pas jusqu'où tu pourrais en supporter...En riant, la blonde caressa la brune de ses mains, prenant ses seins à pleines mains, les soupesant comme le ferait un homme, et la cible de ses attentions n'était manifestement pas très farouche car elle se laissa faire avec un petit gémissement plaintif et excité à la fois... Beverley alla jusqu'à donner un petit coup de langue à la commissure des lèvres de la russe, laquelle avait fermé les yeux sous le plaisir apparemment renaissant... Invité Empire State of MindInvité Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Mer 24 Juil - 1407 tu pensais vraiment que j'allais oublier ?La situation était cocasse, exactement comme il avait pu se la figurer avnt même que ça n'arrive. Mais encore une fois, Beverly gâchait tout à être trop gentille ou trop stupide pour s'énerver. Peut-être était-elle simplement blasée de ces sales coups à répétition, mais ça c'était bien le cadet des soucis de Nathan. Tout ce qu'il voulait, c'est la voir pleurer, hurler. Elle était tellement belle quand elle était en colère, encore plus quand elle était en larmes. Mais apparemment elle ne semblait pas disposée à lui offrir ce tout petit plaisir, même pas pour leur anniversaire de mariage. Un mariage pourri, nécrosé jusqu'à la moelle et qui finirait par les tuer tous les deux si aucun d'eux ne se décidait à s'éloigner de l'autre. Mais tout ce qui est toxique semble aussi avoir sa part d'additif, si bien qu'il n'arrivait concrètement pas à imaginer sa vie autrement qu'ainsi. Mais la suite des événements le fait sourire, d'un sourire légèrement pervers, à voir le corps de sa femme contre celle de la russe, visiblement toujours pas réellement consciente de ce qui se passait. Et tant mieux, ça n'ajoutait qu'à l'excitation de l'avocat. Son cigare terminé, il en jette le bout restant, l'écrasant de sa chaussure avant de continuer à observer le spectacle, un sourire sur les lèvres. Non, jamais il n'aurait imaginer Bev capable d'autant d'audace mais c'était bien loin de lui déplaire contrairement à ce qu'elle semblait insinuer alors qu'elle s'occupait de caresser les seins de la russe. "Je peux tout à fait supporter ça, détrompe-toi Bébé." Il ricane un peu, s'adossant plus confortablement à l'encadrement de la porte, les bras croisés sur son torse pour contempler le spectacle qu'elle lui offre. Finalement, ce n'était pas si mal comme cadeau de mariage. Et la russe ne semblait pas réfractaire à se faire caresser la poitrine par quelqu'un d'autre que lui-même, ce qui ne faisait qu'ajouter à l'excitation du jeune homme. Une remarque acerbe lui vient à l'esprit quant au manque de vertu des deux femmes sur le point de basculer entre les draps, mais pour une fois il se tait, oubliant sa volonté de blesser, préférant à la place profiter de ce qu'il voyait. Et un silence pareil de la part de Nathan, c'était inespéré. Autant dire que Beverley avait frappé fort pour qu'il en reste aussi silencieux. Mais son inactivité ne reste pas longue. Lentement, il s'approche de sa femme, passant dans son dos pour poser ses mains sur ses hanches. Son souffle alcoolisé vient caresser la peau de son cou alors qu'il remonte le long de son ventre plat. "Si je peux me permettre ma belle, tu devrais y mettre un peu plus de conviction." Ses mains s'attardent sur sa poitrine ferme et ronde, la pressant avec envie, comme il ne l'avait plus fait depuis si longtemps. Il faut dire que les occasions ne s'étaient pas présentées si souvent et à se convaincre que Beverley n'était rien d'autre qu'un obstacle dans sa vie, il avait fini par oublier tout le côté charnel qui l'avait pourtant terriblement séduit lors de leurs études à Harvard. "Il vaut mieux t'imposer avec une fille comme elle, et puis tu sais être plus ferme, tu me l'as très bien montré tout à l'heure." comme tous les hommes, Nathan prenait ses rêves pour la réalité alors qu'il se collait un peu plus à sa femme, ses mains ne quittant plus ses formes généreuses alors que ses lèvres caressaient son cou. La soirée ne prenait absolument pas la direction qu'il aurait espéré au départ mais il faut dire que cette alternative était loin de lui ET CODES PAR EPISKEY. Contenu sponsorisé Empire State of Mind Sujet Re tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley tu pensais vraiment que j'allais oublier ? Naverley Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclage Poursavoir combien de verres servir avec une bouteille de champagne, on divise simplement le volume contenu dans une bouteille, 75 cl, par la taille moyenne d’une coupe de champagne, environ 12 cl. Est-ce que le champagne se garde longtemps ? Le champagne est un vin comme un autre, et à ce titre, il peut vieillir. Les champagnes Le 06 octobre 2018 à 012503 Bjoute a écrit Le 06 octobre 2018 à 012411 Tenwen a écrit Le 06 octobre 2018 à 012319 ChienMaigrelet a écrit Tu vas gerber avant d'être cuit. C'est immonde le c'est dégeulasse mais après la soirée que j'ai passé on me proposerait un rail de coke je le prendrais volontiersraconte clefBoah tu sais y a pas grand chose à dire, c'était l'anniversaire de mon père et comme d'hab c'est parti en couilles, il m'a sorti mes 4 vérités, m'as dit que j'étais une merde sans avenir, il a fini en pleurs Le 06 octobre 2018 à 012544 Tintinpipi a écrit Bois pas vite toujours doucementPourquoi khey ? Je vous le dis honnêtement je m'y connais pas trop je suis plutôt un fumeur qu'un buveur de base, je bois pratiquement jamais Si tu as une bouteille, un conseil, prends un verre, mets 10min à le boire, etc jusqu'à finir la ça sur la moitié/fin de la bouteille ça te tapera déjà un peu la tête, c'est agréable de boire quand on est déjà un peu chaud Le 06 octobre 2018 à 012508 kirayihani a écrit [012323] Le 06 octobre 2018 à 012157 kirayihani a écrit [012103] Le 06 octobre 2018 à 011923 CloudWater a écrit Ça dépend de beaucoup de quoi khey ? Le 06 octobre 2018 à 012002 kirayihani a écrit C'est comme une bouteille de vin c'est a peu prêt le même volume. Vite ça te saoul d'un coup et c'est pas ba c'est parti heinSantéMerci khey, santé à toi aussi si tu boisJe modère un peu en ce moment donc la tous que je bois c'est de la Badoit T'as bien raison mon kheyou Le 06 octobre 2018 à 013017 jesuisunepoiree a écrit Si tu as une bouteille, un conseil, prends un verre, mets 10min à le boire, etc jusqu'à finir la ça sur la moitié/fin de la bouteille ça te tapera déjà un peu la tête, c'est agréable de boire quand on est déjà un peu chaudD'ac je vais y aller doucement, c'est pas comme si j'étais pressé d'un coté, je veux juste penser à autre chose Le 06 octobre 2018 à 013201 Bjoute a écrit Le 06 octobre 2018 à 012719 Tenwen a écrit Le 06 octobre 2018 à 012503 Bjoute a écrit Le 06 octobre 2018 à 012411 Tenwen a écrit Le 06 octobre 2018 à 012319 ChienMaigrelet a écrit Tu vas gerber avant d'être cuit. C'est immonde le c'est dégeulasse mais après la soirée que j'ai passé on me proposerait un rail de coke je le prendrais volontiersraconte clefBoah tu sais y a pas grand chose à dire, c'était l'anniversaire de mon père et comme d'hab c'est parti en couilles, il m'a sorti mes 4 vérités, m'as dit que j'étais une merde sans avenir, il a fini en pleursSympathique comme courage clefOh tu sais on s'habitue à force Merci de ton soutien kheyou Pleurs aussi ça fait du bien Le 06 octobre 2018 à 013526 jesuisunepoiree a écrit Pleurs aussi ça fait du bien J y arrive même pas clef pourtant ouais ça me ferait surement du bien, ça m'atteint plus comme avant ce genre de conneries, je pense que c'est du au fait que je tiens de moins en moins à lui, quelque part je m'en bat un peu les couilles de le décevoir, même si ça fait toujours mal de se faire traiter de sous-merde par son propre père Le 06 octobre 2018 à 013814 Tenwen a écrit Le 06 octobre 2018 à 013526 jesuisunepoiree a écrit Pleurs aussi ça fait du bien J y arrive même pas clef pourtant ouais ça me ferait surement du bien, ça m'atteint plus comme avant ce genre de conneries, je pense que c'est du au fait que je tiens de moins en moins à lui, quelque part je m'en bat un peu les couilles de le décevoir, même si ça fait toujours mal de se faire traiter de sous-merde par son propre pèreMoi non plus j'y arrive pas quand je suis sobre, mais une fois saoul je pleurs comme je pisse Le 06 octobre 2018 à 014007 jesuisunepoiree a écrit Le 06 octobre 2018 à 013814 Tenwen a écrit Le 06 octobre 2018 à 013526 jesuisunepoiree a écrit Pleurs aussi ça fait du bien J y arrive même pas clef pourtant ouais ça me ferait surement du bien, ça m'atteint plus comme avant ce genre de conneries, je pense que c'est du au fait que je tiens de moins en moins à lui, quelque part je m'en bat un peu les couilles de le décevoir, même si ça fait toujours mal de se faire traiter de sous-merde par son propre pèreMoi non plus j'y arrive pas quand je suis sobre, mais une fois saoul je pleurs comme je pisseOn verra bien ce que ça donne J'attaque mon deuxième verre Poste une photo de la bouteille / verre pour refaire vivre le topic Le 06 octobre 2018 à 014248 jesuisunepoiree a écrit Poste une photo de la bouteille / verre pour refaire vivre le topic J'ai balancé mon tél contre le mur tout à l'heure no fake Le 06 octobre 2018 à 014430 Tenwen a écrit Le 06 octobre 2018 à 014248 jesuisunepoiree a écrit Poste une photo de la bouteille / verre pour refaire vivre le topic J'ai balancé mon tél contre le mur tout à l'heure no fake T'es bourré ? Mon père m'avait dis que je serai une grosse merde sans avenir, au final j'ai une belle baraque et une belle femme et avant tout la voitures de mes rêves. Pendant que lui a du revendre ça maison et vivre tout seul dans un hlm comme un vieux con 👌 Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?Lechemin libérateur de la bulle est d’autant plus long que le verre est haut. Avec une flûte, verre tout en hauteur, les bulles arrivant en surface sont plus grosses. Une flûte de 10 cm de
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