Traductionsen contexte de "Les danseuses étoiles" en français-anglais avec Reverso Context : Car voilà 300 ans que les danseuses étoiles nous font rêver à l'Opéra de Paris. Traduction Correcteur Synonymes Conjugaison Natalie Portman et son mari français Benjamin Millepied ont brillé jeudi soir au traditionnel gala du New York City Ballet, dont il fut l’une des étoiles avant de le quitter en 2011 pour fonder sa propre compagnie, LA Dance Project». Drew Barrymore, Doutzen Kroes, 50 Cent ou encore Amber Valletta étaient également au Lincoln Center de New York à cette occasion. 1/8 Natalie Portman et Benjamin Millepied © Sonia Moskowitz / Globe / ZUMA / 2/8 Drew Barrymore © Sonia Moskowitz / Globe / ZUMA / 3/8 50 Cent © Curtis Marion/Startraks/ABACA 4/8 Doutzen Kroes © Sonia Moskowitz / Globe / ZUMA / VISUAL Press Agency 5/8 Amber Valetta © John Angelillo / UPI / VISUAL Press Agency Date19/09/2013 6/8 Nicky Hilton © John Angelillo / UPI / VISUAL Press Agency Date19/09/2013 7/8 Elettra Wiedemann © John Angelillo / UPI / VISUAL Press Agency Date19/09/2013 8/8 Sarah Jessica Parker © John Angelillo / UPI / VISUAL Press Agency Date19/09/2013 Natalie Portman et son mari français Benjamin Millepied ont brillé jeudi soir au traditionnel gala du New York City Ballet, dont il fut l’une des étoiles avant de le quitter en 2011 pour fonder sa propre compagnie, LA Dance Project». Drew Barrymore, Doutzen Kroes, 50 Cent ou encore Amber Valletta étaient également au Lincoln Center de New York à cette occasion.

Voicitoutes les solution Etoile française du New York City Ballet. CodyCross est un jeu addictif développé par Fanatee. Êtes-vous à la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun.

Nicolas Blanc est le premier chorégraphe français depuis Benjamin Millepied invité à créer une œuvre pour le New York City Ballet. Sa création Mothership, sur une musique du compositeur américain Mason Bates, a été présentée pour la première fois le 4 mai lors du prestigieux Gala de Printemps du NYCB, aux côtés de Christopher Wheeldon, Alexeï Ratmansky et Justin Peck. Rencontre entre deux répétitions avec ce chorégraphe français qui fait carrière aux États-Unis. Nicolas Blanc en répétition pour Mothership avec Mimi Staker et Christopher Grant Comment est arrivée cette proposition de créer une pièce pour le NYCB ? J’avais été invité à l’automne dernier au New York Choregraphic Institute des rencontres créées en 2000 au sein du NYCB destinées à promouvoir de nouveaux chorégraphes et cela s’est très bien passé. Le directeur du NYCB Peter Martins a vu la pièce et l’a beaucoup aimée. Après la deuxième représentation, il m’a proposé de la reprendre pour la compagnie. C’était vraiment une surprise totale, je ne m’y attendais pas. J’avais peu de temps à vrai dire, juste une semaine et demie, donc la pièce Mothership que je reprends est courte, juste 9 minutes et 21 secondes ! C’est comme un petit marathon. Comment avez-vous choisi vos ? Tous les chorégraphes invités par le New York choregraphic Institute sont allés voir une classe et j’ai ainsi sélectionné un groupe. Ce sont des jeunes danseurs et danseuses, il y a même 3 "apprentices" dans la distribution ndlr de très jeunes danseurs et danseuses qui n’ont pas encore formellement intégré la compagnie. Pour eux, c’est aussi un grand pas en avant. Ils sont très verts et ils ont un enthousiasme qui fait plaisir à voir. Nous avions travaillé à l’automne dernier avec ce même groupe et je suis revenu à New York avant la première, pour retravailler certains passages dont je n’étais pas totalement satisfait. Quel type de chorégraphe êtes-vous ? Avez-vous tout écrit avant d’arriver en studio ? Je n’ai pas tous les pas écrits. J’ai peut-être deux phrases qui me permettent de démarrer. Ce qui est écrit, c’est la géographie sur scène. Mothership est une pièce pour quatre couples. Ce que je prévois d’avance, c’est où et comment ils bougent sur scène et les différentes sections de la pièce savoir si c’est un duo, un solo, un pas de trois, un ensemble. Et c’est la musique qui m’indique cela. Si l’on parle du style, évidemment, c’est un registre néo-classique et j’ai beaucoup été marqué par mes expériences avec William Forsythe l’attaque de Forsythe, les déséquilibres, les décalés, les positions extrêmes. Ce qui revient aussi chez moi, c’est la recherche de fluidité. Précisément, le titre de votre pièce Mothership reprend celui de la partition écrite par le musicien Mason Bates qui a écrit cette suite symphonique, dans laquelle il inclut de la musique électro-acoustique. Pourquoi l’avez-vous choisie ? J’avais en tête de trouver une musique qui convienne à une pièce courte. C’était ma cible. Je voulais une musique au tempo rapide parce que c’est la marque de fabrique du New York City Ballet. Action ! Et puis j’avais l’ambition de montrer dans ces neuf minutes ma capacité à chorégraphier une pièce qui soit à la fois rapide et lyrique. L’avantage de cette musique de Mason Bates, c’est que les improvisations qu’il a demandées à ses musiciens ont produit justement un passage plus lyrique qui m’a permis d’inclure le duo que j’avais en tête. Le but était de pouvoir jouer sur ce double registre une chorégraphie lente et rapide… en 9 minutes ! Et puis quand j’ai écouté la pièce, il y a eu comme un appel du pied, c’était pour moi une évidence. Nicolas Blanc avec Alston MacGill et Sebastian Villarini-Velez Que représente pour vous cette invitation au NYCB ? C’est un rêve qui devient réalité. Lorsque j’étais en Europe, j’ai toujours voulu comme danseur me confronter à l’école de George Balanchine et c’est d’ailleurs une des motivations pour mon départ aux États Unis. Cela devait être temporaire et en fait, je suis resté. Et comment s’est opéré votre parcours de danseur ? J’ai commencé chez moi à Montauban avant d’aller suivre l’enseignement de l’Académie de Danse Classique de Monaco. J’ai suivi l’enseignement de l’École de Danse de l’Opéra de Paris avec Claude Bessy après le Prix de Lausanne. Dans ma carrière de danseur, l’étape de Zurich a été décisive Heinz Spoerli l’ancien directeur du ballet de Zurich a eu un impact fort sur ma carrière et sur ma danse. Puis ce fut le San Francisco Ballet où je fus nommé Principal en 2004. J’ai arrêté de danser relativement tôt, en 2009, à 32 ans parce que j’étais blessé et j’ai décidé de partir sur une note haute. Je ne voulais pas envisager des périodes où je danserais suivies de longues pauses à cause des blessures. C’est comme cela que j’ai opéré ma reconversion comme maître de ballet, tout d’abord au Scottish Ballet puis au Joffrey Ballet. Je ne pensais pas vraiment revenir aux États-Unis, mais le directeur du Joffrey Ballet Ashley Wheater m’a fait cette proposition. J’ai donc repris ce poste à Chicago. Aviez-vous projeté cette carrière nomade qui vous a conduit en Allemagne, en Suisse puis aux États-Unis ? Ce sont les rencontres qui ont décidé de ma carrière. Enfant et jeune adolescent, je rêvais de l’Opéra de Paris. Mais quand j’ai voulu postuler, j’étais bien en dessous de la taille minimum exigée. Donc je n’ai même pas essayé. Mais j’ai eu la chance d’intégrer la première division de l’École de Danse après le Prix de Lausanne en 1994. Et c’est quelque chose que je voulais faire car j’ai senti que je regretterais toute ma vie de ne pas avoir essayé. Uns fois que je suis parti de l’Opéra de Paris, je me suis vite rendu compte que l’on pouvait faire carrière ailleurs et danser des rôles très intéressants. J’ai toujours eu besoin et envie d’élargir mon univers artistique. Que retenez-vous de votre carrière au San Francisco Ballet ? Je crois que c’est tout d’abord la diversité et la multitude des rôles que j’ai pu danser du ballet académique aux chorégraphes contemporains en passant bien sûr par George Balanchine. Cela m’a ouvert les yeux et formé mon esprit critique. En tant que danseur européen, je trouvais que le répertoire du San Francisco Ballet était éblouissant. Nicolas Blanc avec Sebastian Villarini-Velez et Alston MacGill Est-ce que vous vous sentiez malgré tout un danseur français ? Oui. Je pense que lorsque l’on vient de France et que l’on arrive aux États Unis, il y a cette liberté dans la danse et cette liberté sur scène qui sont typiquement américaines. Mais je crois que ce qui peut attirer les chorégraphes ici et les directeurs de troupe quand ils engagent des artistes français, c’est la propreté de la danse et une forme d’élégance française. J’ai toujours essayé de garder cela avoir la vivacité américaine, bouger rapidement et en même temps montrer cette école française. Quand est venu ce désir d’être chorégraphe ? J’ai toujours eu cette envie depuis tout petit, mais en étant Principal au San Francisco Ballet, je n’avais pas vraiment le temps ni l’opportunité de chorégraphier. J’ai fait deux pièces pour l’école, mais je ne pouvais pas faire davantage. Ensuite, cette transition comme maître de ballet, cela m’a beaucoup aidé pour la chorégraphie car je me suis retrouvé en face des danseurs et des danseuses cela permet de développer sa propre science des placements sur scène, comment diriger les interprètes, quel vocabulaire utiliser, comment les modeler. Cette fonction de maître de ballet, qui est très différente, m’a beaucoup aidé pour apprendre à transmettre mes idées aux danseurs. Quels sont les chorégraphes qui vous ont influencé ou qui ont été importants pour vous ? Mister B évidemment ! J’ai tellement dansé George Balanchine... Et puis William Forsythe. Christopher Wheeldon est aussi un nom qui me vient spontanément. Ce que j’aime chez lui, c’est l’esthétique et la façon dont il crée toujours une atmosphère, même dans une pièce abstraite. Mats Ek est aussi dans mon panthéon bien que je sois de facture plus classique. Mais j’ai eu la chance de travailler avec Ana Laguna pour Carmen. J'aime bien cet équilibre entre le contemporain et le classique. Je me réjouis par exemple que Thierry Malandain, Kader Belarbi et Charles Jude aient initié ce concours des jeunes chorégraphes néo-classiques en France. Personnellement, j’aime ces deux pôles le classique ou néo-classique et la danse contemporaine et ce concours va peut-être permettre de créer une balance. Mothership de Nicolas Blanc est à voir au New York City Ballet jusqu'au 21 mai au David H. Koch Theater Lincoln Center New York.
Loccasion de se plonger dans l'univers enthousiasmant et toujours surprenant du NDT. La saison en ligne du New York City Ballet. À voir jusqu'au 18 mars sur le site du New York City Ballet. Le New York City Ballet propose un joli programme en ligne en mars, autour de trois chefs-d'oeuvre de George Balanchine. Place d'abord au Fils Prodigue La façade du musée d'Histoire naturelle de New York. Photo T. Mizo1/ Pour voir les dinosauresSi vous avez aimé le film Jurassic Park, vous allez adorer le musée d’Histoire naturelle de New York. Le musée abrite en effet une collection très complète de fossiles de dinosaures. Dès le hall d’entrée, d’impressionnants spécimens vous ensuite vers le Hall of Saurischian Dinosaurs, où vous pourrez notamment rendre visite au Tyrannosaurus Rex, ou T-Rex, le dinosaure le plus célèbre du à affronter les dinosaures ? Photo Don DeBold2/ Pour revivre La nuit au muséeLe musée d’Histoire naturelle de New York est au cœur du film La nuit au musée, avec Ben Stiller. Ce gardien de nuit, qui pensait avoir trouvé un boulot pépère, va se trouver embarquer dans une folle aventure, alors que les dinosaures et autres statues du musée prennent vous avez vu le film sorti en 2006, vous ne pourrez pas visiter le musée sans revoir les scènes. Le film a d’ailleurs donné lieu à 2 autres épisodes, qui se déroulent eux aussi dans le musée de La nuit au musée Pour rêver devant les pierres précieusesMesdames, si vous voulez vous faire offrir un joli souvenir de New York, emmenez votre mari dans le Morgan Memorial Hall of Gems », la vaste salle qui abrite la collection de pierres précieuses. Vous aurez diamants, saphirs et rubis à portée de les plus belles pierres, vous resterez sous le charme étrange du Star of India », l’un des plus gros saphirs au monde. Son nom vient du fait que la lumière se reflète dans le saphir en créant une mystérieuse étoile…Le Star of India à New York. Photo AMNH4/ Pour toucher une météoriteJuste à côté du hall consacré aux pierres précieuses, le Arthur Ross Hall of Meteorites est entièrement dédié aux météorites. Vous pourrez découvrir les mystères de la Terre mais aussi un authentique fragment de météorite qui s’est abattu sur notre encore, vous pourrez toucher ce morceau de caillou venu de l’espace ! Une expérience spatiale à ne pas manquer !Une météorite qui vous tend les mains… Photo AMNH5/ Pour parcourir les 5 continents en un seul voyageLe musée d’Histoire naturelle vous raconte la grande aventure de la vie sur Terre, avec la formation de notre système solaire et des planètes. Une grande galerie expose également une importante collection d’animaux pourrez alors parcourir l’Ouest américain, avec ses coyotes, la savane africaine, avec ses lions, ses antilopes et ses oryx, ou la banquise avec ses morses. Les scènes sont à chaque fois reproduites avec minutie et un grand sens du à face avec des oryx… Photo DanoInformations pratiquesAdresse à l’angle de Central Park West et 79th 86 ouvert tous les jours de 10h à 22 $ pour les adultes, 17 $ pour les plus de 65 ans et pour les étudiants, 12,50 $ pour les enfants de 2 à 12 ans. Vous pouvez acheter vos billets, avec accès coupe-file, directement sur notre page dédiée aux billets pour le musée d’Histoire naturelle de New plan l’entrée au musée d’Histoire naturelle est comprise dans tous les pass touristiques à New York, le New York City Pass mais aussi l’Explorer Pass et le New York Pass. ClotildeVayer a introduit les protagonistes de la séance avant de s’éclipser : la maîtresse de ballet du Balanchine Trust et ancienne étoile du New York City Ballet, Maria Calegari, qui est en charge des répétitions de la soirée avec son mari Bart Cook, Béatrice Martel qui va jouer les interprètes car Maria Calegari comprend le français mais ne le parle pas, les

Benjamin Millepied est un artiste français protéiforme fondateur de la compagnie Dance Project, danseur, chorégraphe et cinéaste. Il a dirigé le ballet de l’Opéra national de Paris. Nommé en 2001 danseur étoile du New York City Ballet, Benjamin Millepied y interprète les grands ballets de George Balanchine, de Jerome Robbins, mais également des chorégraphies plus contemporaines, notamment d’Angelin Preljocaj. En 2002, il débute, en parallèle de son activité de danseur, sa carrière de chorégraphe en créant le “Triple Duet” à Londres, marquant le début de ses réalisations pour de grandes troupes telles que celles du Ballet de l’Opéra national de Paris, de l’American Ballet Theatre et du Ballet Mariinski. En 2004, Benjamin Millepied est nommé directeur artistique du Morriss Center Dance à Bridgehampton New York, et décide, en 2011, de quitter le New York City Ballet pour fonder, à Los Angeles, sa propre compagnie Dance Project, en collaboration avec divers artistes contemporains comme le compositeur Nico Muhly ou le peintre scénographe Paul Cox. En janvier 2013, Benjamin Millepied est nommé à la tête du Ballet de l’Opéra national de Paris, qu’il dirigera jusqu’en 2016, année où il quitte ses fonctions pour pouvoir se consacrer à la création artistique de sa compagnie de danse.

NewYork City Ballet à Paris - Théâtre du Châtelet : découvrez les prochaines diffusions et le casting President Barack Obama meets with France's President Nicolas Sarkozy in the Oval Office in Washington Nicolas Sarkozy, 6/10. Son principal atout a longtemps été d'avoir chassé de l'Elysée Jacques Chirac, dont l'hostilité à la guerre en Irak avait exaspéré certains des plus fervents ennemis de l'administration Bush. D'abord perçu comme un "réformateur" qui allait permettre de normaliser les relations entre Paris et Washington - son discours au Congrès, le 7 novembre 2007, est resté dans les mémoires -, il a dilapidé au fil du temps son capital de sympathie. Le président de la République semble tour à tour amuser et exaspérer Barack Obama, plus réservé et cérébral de nature. REUTERS/Jason Reed France's first lady Carla Bruni-Sarkozy and first lady Michelle Obama hold hands as they arrive at the Strasbourg's Cathedral Carla Bruni-Sarkozy, 7/10. La première dame s'est vantée auprès de Michelle Obama qu'elle et son mari ont fait attendre un chef d'Etat pendant qu'ils faisaient l'amour, à en croire un journaliste de l'hebdomadaire Newsweek, Jonathan Alter. L'anecdote a rendu son image encore un peu plus sulfureuse. Même des intellectuels de la côte Est semblaient interloqués, lors d'une émission sur NPR, la radio publique américaine, par les sous-entendus sexuels de sa chanson Ta tienne. REUTERS/Eric Gaillard Former IMF Chief Strauss-Kahn arrives at Manhattan Criminal Court for an arraignment hearing in New York Anne Sinclair, 3/10. L'épouse de Dominique Strauss-Kahn, en prenant fait et cause pour son mari, n'a pas suscité la moindre sympathie de la part des Américains, qui découvrent son existence. Les féministes, en particulier, lui reprochent de sacrifier à l'image de la "good wife", l'épouse dévouée, prête à partager toutes les épreuves, quel que soit le prix à payer. REUTERS/Mike Segar France's Marion Cotillard holds Oscar she won for best actress at the 80th annual Academy Awards in Hollywood Marion Cotillard, 8/10. "Oscarisée" en 2008 pour son interprétation du rôle d'Edith Piaf dans La Môme, la comédienne avait terni sa réputation une semaine plus tard en prenant à son compte la théorie du complot dans l'organisation des attentats du 11 septembre 2001. Episode oublié. Redevenue aussi populaire que naguère, "la môme Cotillard" continue de tracer sa route à Hollywood, où elle tournera dans le nouvel épisode de Batman. La comédienne sera aussi à l'affiche du prochain film de Steven Soderbergh, Contagion. REUTERS/Mike Blake French philosopher Levy arrives for a meeting with emissaries from the Libyan National Council at the Elysee Palace in Paris Bernard-Henri Lévy, 4/10. Le philosophe préféré du VIIe arrondissement parisien a longtemps été pris au sérieux outre-Atlantique. Mais sa défense aveugle et maladroite de Dominique Strauss-Kahn, publiée sur le site du Huffington Post - simple traduction d'une de ses chroniques parues dans Le Point -, a durablement terni son image. L'influent Jon Stewart, sur la chaîne Comedy Central, en a fait des gorges chaudes. REUTERS/Gonzalo Fuentes American Express Cook-Off at the St. Regis Hotel Jacques Pépin, 8/10 Inconnu ou presque dans son pays natal, ce chef cuisinier âgé de 75 ans et auteur d'une vingtaine d'ouvrages incarne aux yeux de nombreux Américains la gastronomie française. Ses innombrables émissions culinaires l'ont rendu incontournable. Son habileté consiste à s'adapter aux goûts locaux parmi les recettes décrites sur son site Web figure ainsi un parfait au maïs. Oh dear... Getty Images/AFP/Riccardo Savi Johnny Depp, best actor Oscar nominee for "Sweeney Todd The Demon Barber of Fleet Street," arrives with his girlfriend Vanessa Paradis at the 80th annual Academy Awards in Hollywood Vanessa Paradis, 8/10. En Californie, le Los Angeles Times s'interroge la chanteuse française, compagne discrète de la star mondiale Johnny Depp, serait-elle, par son talent, "le meilleur parti des deux" ? Son visage, affiché aux Etats-Unis dans les publicités pour les parfums Chanel, fait sensation auprès des Américaines, pour qui elle incarne le charme naturel des Françaises. REUTERS/Carlos Barria Jury President de Niro poses with Best Actor award winner Dujardin and Best Actress Winner Dunst during the closing ceremony of the 64th Cannes Film Festival Jean Dujardin, 4/10. L'acteur préféré des Français n'est guère connu aux Etats-Unis, où l'humour d'Un gars, une fille ou de Brice de Nice ne survit pas à la traduction ou au doublage. Il ne désespère pas pour autant de figurer dans la liste des nommés aux Oscars pour son rôle dans The Artist, le film muet qui a défrayé la chronique au récent Festival de Cannes. A suivre. REUTERS/Yves Herman france etats-unis Tony Parker, 9/10. La mégastar du basket-ball, meneur de jeu des San Antonio Spurs, attire le respect, et pas seulement parce qu'il est l'un des sportifs les mieux payés au monde. Problème beaucoup ignorent, outre-Atlantique, ses origines françaises. Mais combien de Français savent qu'il est né en Belgique ? REUTERS/Joe Mitchell france etats-unis Michel Houellebecq, 0/10. Who's he ? L'auteur de La Carte et le territoire n'a guère étendu son influence outre-Atlantique, où le respect qu'il inspire en France suscite une perplexité certaine. AFP PHOTO/MENAHEM KAHANA Jury President Penn and actor de Niro pose beside actress Deneuve in Cannes Catherine Deneuve, 9/10. Une institution nationale, au même titre que la tour Eiffel. La diva gère à la perfection son image, aidée par sa bonne maîtrise de la langue anglaise et ses relais à Hollywood. REUTERS/Eric Gaillard Lagarde holds a news conference in Washington Christine Lagarde, 10/10. Maureen Dowd, chroniqueuse redoutée du New York Times, est venue à Bercy pour brosser le portrait de la candidate à la direction du Fonds monétaire international. Comme Christiane Amanpour, star d'ABC, elle ne cache pas son coup de coeur pour cette Française taillée aux mesures américaines, sportive, affirmée et naturelle, rompue aux codes des Etats-Unis et à la diplomatie du business. La décennie qu'elle a passée à Chicago, à la tête d'un des plus grands cabinets d'avocats au monde, a laissé des traces. La ministre a aussi défrayé la chronique par ses propos sans appel contre les banquiers des subprimes dans Inside Job, un documentaire saisissant sur la crise de 2008. Les sexistes, à l'entendre, n'ont qu'à bien se tenir "Ils savent que je peux les cogner", a-t-elle confié au New York Times. REUTERS/Jonathan Ernst director Tarantino poses for pictures with cast members Pitt and Laurent before the German premiere of his new movie "Inglourious Basterds" in Berlin Mélanie Laurent, 7/10. Quentin Tarentino lui a ouvert les portes de Hollywood en lui confiant le rôle de Shoshana, la tueuse de nazis cinéphile dans Inglourious Basterds. Son second film américain, Beginners - l'histoire d'un père qui révèle, cinq ans avant sa mort, son homosexualité à son fils - est déjà promis au succès par la critique américaine. REUTERS/Thomas Peter Best actress nominee Natalie Portman and her fiance Benjamin Millepied arrive at the Academy Awards in Hollywood Benjamin Millepied, 7/10. Ce Bordelais de 34 ans, élevé à Dakar, vient de faire un bébé avec Natalie Portman. Bien avant de rencontrer la star sur le tournage de Black Swan, dont il assurait la chorégraphie, le danseur étoile du New York City Ballet, entré en 1995 dans la prestigieuse compagnie, était une célébrité à Manhattan. Signe de sa notoriété, l'émission satirique Saturday Night Live lui a consacré un sketch. REUTERS/Lucy Nicholson Etoile Sans Lumiere / Stars Without Light Edith Piaf, Maurice Chevalier, Claudette Colbert...10/10 Les principaux représentants de la "France éternelle" suscitent d'autant plus d'enthousiasme qu'ils ne sont plus de ce monde. Pas le moindre risque de se disputer à leur sujet. Vive la France ! Tuscherer/Bup / The Kobal Collection/AFP Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher s9aA0.
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